OPERATION DE COLLECTE des Produits Phytosanitaires Non Utilisés (PPNU)















Chers professionnels, bonjour à tous,
Si la lutte contre la teigne des crucifères plutella xylostella, principal ravageur du chou est maîtrisée par les producteurs polynésiens, il est observé la recrudescence d’une maladie noircissant le cœur du chou.
Suite au signalement de cette maladie par les producteurs, les agents de la chambre de l’agriculture et de la pêche lagonaire et de la direction de l’agriculture se sont rendus dans quatre principales exploitations le 27 mars 2019. (suite…)
DE 8 H À 12 H, A L'UNIVERSITÉ DE POLYNÉSIE FRANÇAISE,
BÂTIMENT F, AMPHITHÉÂTRE F.
La prévention des déchets est définie comme un mode de gestion prioritaire, selon la formule courante « le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas ». Réduire les déchets à la source, c’est en effet limiter les besoins
de collecte puis de traitement des déchets. Ce mode de gestion permet donc de réduire les dépenses du service
public de gestion des déchets ménagers et assimilés et de limiter l’impact environnemental induit par celui-ci.
Le traitement des déchets en Polynésie française repose aujourd’hui encore essentiellement sur l’enfouissement. La prévention de la production et la valorisation des biodéchets permet de réduire le recours à l’enfouissement et ainsi d’économiser les capacités de stockage dans les différents CET (Centre d’Enfouissement Technique) de Polynésie française. En effet, cette méthode de traitement des déchets ne constitue pas une solution durable notamment dans un contexte insulaire où le foncier reste limité.
En Polynésie française, les matières compostables représentent 62% des bacs gris avec :
OBJECTIFS DU COLLOQUE :
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Les grands exploitants maraîchers de Tahiti se sont réunis aujourd’hui pour participer à une réunion organisée par la direction de l’agriculture en collaboration avec la chambre de l’agriculture et de la pêche lagonaire.
L’objet de la réunion portait sur « LES METHODES DE LUTTE ALTERNATIVES »
En effet, il existe de nombreuses méthodes de lutte alternatives aux produits chimiques contre les ravageurs de cultures.
L’idée de cette réunion était de cibler, ensemble, les axes de travail en terme de recherche agronomique et d’essais terrains pour définir des méthodes efficaces, pérennes et utilisables pour tous.
L’utilisation d’auxiliaires de culture (« bons » insectes introduits volontairement dans l’exploitation pour tuer les ravageurs), de biopesticides (à base d’extrait de plantes, de microorganismes), de phéromones, la mise en place de formations spécifiques… sont autant de sujets qui furent abordés dans les détails pour connaître ce qui a été fait dans le passé et ce qui pourrait être fait rapidement.
Cette première réunion a démontré la volonté de tous de travailler ensemble et vers la même direction, malgré la concurrence professionnelle existante, pour proposer aux consommateurs des produits de qualité issus d’une agriculture raisonnée.
Des réunions régulières seront organisées durant toute l’année afin de suivre aux mieux les avancées sur le sujet.
Le ministre du Développement des ressources primaires, Tearii Alpha, accompagné du directeur de l’agriculture, Philippe Couraud, et du chef de cellule de recherche, innovation et de valorisation, Maurice Wong, a présenté, mardi, les résultats des campagnes d’analyses des résidus de pesticides dans les fruits et légumes, locaux et importés, réalisées par la Direction de l’Agriculture (DAG), dans son centre de recherche agronomique de Papara.
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