Questionnaire sur le statut de l’agriculteur
Chers agriculteurs bonjour,
Chers agriculteurs bonjour,
Chers professionnels, bonjour à tous,
La SCA HORTICA TAHITI va cesser son activité et recherche un ou plusieurs repreneurs professionnels pour son exploitation horticole.
La société produit actuellement des anthuriums (35000 plantes en croissance) et dispose de 21 serres (9m x 37m de long) avec un système d’irrigation hors sol complet et en bon état, installées sur une surface agricole de 8000 m2.
La société est en bonne santé économique, dégageant des bénéfices substantiels, sans difficultés d’écoulement des anthuriums ou de recherche de clients.
La société est composée actuellement de quatre salariés qui seraient intéressés pour continuer à travailler dans la production d’anthuriums et qui maîtrisent de manière efficiente la culture et la commercialisation de la production.
Le repreneur de l’activité pourra bénéficier du carnet « clients », de la solution nutritive adaptée à la production des aracées et de l’assistance technique nécessaire pour assurer une transition efficace de l’activité à son compte.
A noter que le propriétaire actuel souhaite garder la propriété du foncier et peut permettre l’accompagnement dans le démontage et montage de l’ensemble du matériel vers une nouvelle zone agricole. Toutefois, une offre adaptée pour l’acquisition globale de l’exploitation et du terrain est envisageable. La parcelle totale qui fait 1,7 hectare en zone UC est située à Papara pK 32, derrière l’église mormone.
Pour plus de renseignements, vous pouvez contacter directement le propriétaire Mr Thierry BEAULIEU par téléphone au 87 78 16 43 ou par Email à l’adresse suivante : scahortica@hotmail.com. Il organisera sur demande, des visites de l’exploitation.
Si la lutte contre la teigne des crucifères plutella xylostella, principal ravageur du chou est maîtrisée par les producteurs polynésiens, il est observé la recrudescence d’une maladie noircissant le cœur du chou.
Suite au signalement de cette maladie par les producteurs, les agents de la chambre de l’agriculture et de la pêche lagonaire et de la direction de l’agriculture se sont rendus dans quatre principales exploitations le 27 mars 2019. (suite…)
Les importations en fruits et légumes frais sont limitées dans le but de favoriser l’écoulement de la production locale, une production qui couvre 41% des légumes et 59% des fruits, consommés en Polynésie française. *
*chiffres issus du bulletin statistique 2016 de la direction de l’agriculture.
En effet, pour une trentaine de fruits et légumes, des « quotas d’importation » sont proposés mensuellement lors de la conférence agricole** pour venir compenser, le cas échéant, le manque en production locale.
** La conférence agricole est une conférence mensuelle, organisée par la direction générale des affaires économiques, qui regroupe les distributeurs, producteurs et consommateurs, ainsi que les services et établissements administratifs qui sont concernés, pour apprécier le potentiel de la production locale afin de couvrir la demande de la consommation et définir, si besoin, des quotas d’importation. Les quotas sont ensuite fixés par arrêtés pris en conseil des ministres.
Une estimation « en tonnes » de la consommation mensuelle pour chacun de ces fruits et légumes en Polynésie française a été définie il y a une dizaine d’année et permet aujourd’hui d’aider au maintien d’un équilibre dans l’approvisionnement dans le seul but de garantir la bonne commercialisation de la production locale. En effet, si vous connaissez la consommation moyenne et la quantité qui sera produite localement, vous pouvez définir les besoins à importer pour satisfaire le marché.
Donc pour connaître les quotas d’importation autorisés, il est nécessaire d’effectuer préalablement les prévisions de récolte et ainsi définir la production locale du mois prochain.
Pour répondre à la question suivante : Quelle quantité de fruits ou de légumes autoriser à l’importation ? Les agents de l'établissement effectuent mensuellement une visite des exploitations et déterminent, avec une analyse minutieuse des parcelles, une prévision des productions potentielles prévues pour le mois prochain.
Comment fonctionne une prévision de récolte :
L’agent doit se rendre sur le site de l’exploitation ;
Que faire de cette information :
Les agents de la CAPL sont répartis sur plusieurs archipels de la Polynésie française et vont chacun effectuer des prévisions de récoltes selon un secteur géographique prédéfini.
DE 8 H À 12 H, A L'UNIVERSITÉ DE POLYNÉSIE FRANÇAISE,
BÂTIMENT F, AMPHITHÉÂTRE F.
La prévention des déchets est définie comme un mode de gestion prioritaire, selon la formule courante « le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas ». Réduire les déchets à la source, c’est en effet limiter les besoins
de collecte puis de traitement des déchets. Ce mode de gestion permet donc de réduire les dépenses du service
public de gestion des déchets ménagers et assimilés et de limiter l’impact environnemental induit par celui-ci.
Le traitement des déchets en Polynésie française repose aujourd’hui encore essentiellement sur l’enfouissement. La prévention de la production et la valorisation des biodéchets permet de réduire le recours à l’enfouissement et ainsi d’économiser les capacités de stockage dans les différents CET (Centre d’Enfouissement Technique) de Polynésie française. En effet, cette méthode de traitement des déchets ne constitue pas une solution durable notamment dans un contexte insulaire où le foncier reste limité.
En Polynésie française, les matières compostables représentent 62% des bacs gris avec :
OBJECTIFS DU COLLOQUE :
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